Diplôme d'éducation à la philosophie et à la citoyenneté 

En BAC 2, j'ai participé à la formation d'EPC. Cette dernière proposait un séminaire début septembre basé sur la théorie. Ensuite, nous devions réaliser une semaine de stage ainsi qu'un portfolio pour obtenir le diplôme d'EPC.

Déontologie 

Grâce à ce travail, j'ai acquis des compétences en tant que citoyen de demain car je vais pouvoir agir dans la société en tant qu'institutrice consciente des lois. En respectant la déontologie, je m'insérerai du mieux possible dans la société et dans ma vie professionnelle. 

Cela m'a réellement permis de prendre connaissance de mes obligations en tant qu'enseignante. Cette recherche fut riche car je n'étais pas au courant de toutes les lois en ce qui concerne le secret professionnel.  

Journée porte ouverte  

Avec Juliette, nous avons réalisé la présentation de la section primaire lors des journées portes ouvertes. 

Cette journée a fait de moi une citoyenne impliquée dans l'insertion des futurs étudiants au sein de la Haute Ecole, mais également dans leur choix d'étude. 

Personnellement, j'ai apprécié participer à la journée porte ouverte ; nous avons réellement eu l'impression (et ce n'est pas qu'une impression) de fermer le livre pour pouvoir en écrire un nouveau. 

Aussi, cette journée m'a fait prendre conscience du travail accompli, des éléments appris, du matériel construit (jeux, CAT, CAP)... bref, de mes 3 années à l'Henallux de Champion, 3 années qui ont filé si vite. 

Neutralité 

Afin d'obtenir notre diplôme nous avons réalisé un travail concernant la neutralité. C'est un concept légal que nous devons absolument maîtriser en tant qu'enseignante. En prenant connaissance des lois et de mes obligations je pourrai agir en tant que citoyenne responsable. 

● Les aspects que j'ai appréciés et ceux qui m'ont déplu 

J'ai apprécié les 2 dernières séances où tout prenait forme car je n'y croyais vraiment plus : en effet, lors de la réalisation de notre projet, j'ai trouvé que l'on n'avançait pas. J'ai vraiment apprécié la manière dont mon groupe a fait face aux (nombreux) imprévus. Ce qui m'a déplu, c'est le nombre de membres dans notre groupe. En effet, il est difficile de créer un projet à 10 car nous ne sommes pas toujours toutes impliquées dans le projet au même moment ce qui rendait l'écoute et la compréhension parfois difficiles. 

● Un recul critique 

Je trouve que les séances de travail étaient trop espacées les unes des autres et trop longues. A refaire je pense que des séances plus courtes et régulières seraient idéales. Cela permettrait de se souvenir plus facilement de ce qui a été fait lors des séances précédentes et donc de ne pas perdre du temps à répéter. 

Le dossier de "route" nous aidait à nous rappeler plus facilement et on essayait de le compléter un maximum même si cela n'a pas toujours été simple. 

J'aurais également aimé plus communiquer avec les autres groupes afin de voir que le projet prenait vraiment forme. Au niveau des locaux, j'aurais apprécié que l'équipe logistique puisse se renseigner avant quant à la cuisine du grenier : cela nous aurait évité un imprévu même si au final la cuisine des sœurs est elle aussi devenue indisponible. 

Au final, je suis déçue de ne pas (encore) avoir finalisé le projet ; certes c'est un travail important mais il en vaut la peine. Il permet de s'ouvrir au monde, à un autre aspect des cours et à la rencontre de nouvelles personnes.

Projet OSE 

Résumé de notre spectacle 

Quel autre endroit que la cuisine pourrait signifier le mot « bonheur » à nos yeux ? Ouvrez grand vos oreilles...et vos narines ! Ici, mélange de sons et d'odeurs seront au rendez-vous ! Les spectateurs sont invités à pénétrer dans une salle aux décors de cuisine. Une fois installés à table, ils assisteront à une scénette qui s'est peut-être déjà réalisée avec leur famille : on attend que le dîner soit servi, mais pendant ce temps, on s'ennuie... Petit à petit, les bruits et les rythmes composés avec des éléments de la cuisine se mélangent les uns aux autres pour finalement laisser place à une mélodie. La saynète débute par l'entrée des enfants dans la cuisine qui viennent de remarquer que des crêpes se préparent. Ils décident donc de mettre la table. Une multitude de sons et d'enchainements sonores se font ensuite entendre. Soudain on toque à la porte, les invités arrivent pour le dîner ! Après être passés par la cuisine pour saluer les deux cuisinières, ils vont rejoindre une deuxième table et commencent également leur concert. S'en suit une « battle » entre les différentes tables, pour terminer par le public. Les spectateurs seront invités à participer avec les étudiantes en frappant sur la table ou avec des éléments de la cuisine mis à leur disposition en suivant le rythme « TATA » ou « TITI TITI » selon les deux meneuses de salles qui seront assises avec les invités, mais également en se levant et en frappant à nouveau dans ses mains le rythme proposé. Le tout dans une délicieuse odeur de crêpes qui cuisent. 

Analyse réflexive

● Comment j'aurais pu mieux faire

J'aurais peut-être pu laisser les autres prendre plus facilement leur place, et me mettre un peu en retrait pour permettre aux autres membres du groupe de donner leur avis. De plus, j'aurais pu être plus motivée dès le départ car il est vrai qu'au départ, ce projet ne m'emballait pas tellement.

● Ce que j'ai appris et ce que j'aurais encore voulu apprendre

 J'ai appris que le travail en groupe demande une certaine rigueur, un cadre qui permet à chaque membre de se sentir bien afin de vouloir contribuer au travail. Ce cadre est important car j'ai également appris que l'on avance de manière efficace et correcte dans un projet que lorsqu'on est motivé! J'ai aussi appris à mettre certaines de mes idées de côté afin de laisser place à d'autres (même si cela est encore à travailler).